vendredi 30 mars 2012

NATURAL BRIDGES


Le 23 mars 2012, nous passons une nuit à Bluff ...

et filons vers Natural Bridges. 


Le paysage surprend encore...















Quelle réduction de pente ici! Ils ont éventré la colline.















Encore des caprices de la nature à notre droite...


Qu'est-ce qui la déposer là?













Nous entrons maintenant dans un magnifique parc.




Et sommes très bien accueillis et informés.













C'est le pont naturel SIPAPU.















Vu de loin


Pause-dîner bien méritée



Cela a fait du bien.



Que c'est bien aménagé et bien respecté!

On entreprend un sentier. Nous réserve-t-il des surprises?




Quelle vue du sentier!
Voyez-vous la rivière desséchée?



C'est quand même assez sécure.



Mais des bouts, Julienne n'aime pas trop cela.


Paraîtrait que ces marbrures noires sont dues à la présence de manganèse? 


C'est bien balisé.


Heureusement arrivée après la chute.


J'ai réussi à résister.


Ce morceau rocheux a quelque chose à dire.


La rivière coulera-t-elle?


Autre caprice de la nature. Qui veut l'expliquer? Peut-être Pierre...



Courage nous y arrivons.


C'est bien fixé.

Mais à quand le sommet?

Et que fait ce caillou ici?

Ils se sont même donné la peine de nous tailler des marches.

Nos informations nous parlaient du "Sentier du palier dominant de la ruine collier de cheval (Horsecollar Ruin Overlook" Ce petit sentier, le plus élevé, mène au-dessus du sommet de mesa vers le bord du canyon blanc. De cet angle vous pouvez voir les restes d'une falaise ancestrale Puebloan se logeant dans une grande alcôve près du fond du canyon. Deux greniers avec des portes formées de façon unique donne le nom à cette ruine. À la gauche des deux greniers se trouve une kiva, la salle de réunion et cérémoniale de la communauté. 

Texte tiré de nos pamphlets  

Je ne croyais jamais le trouver au bout de mon zoom.


J'en ai même trouvé d'autres!


Je mérite de poser.



Et Julienne aussi...


Quelle belle nature, vivante ou morte


C'est lui.


Ou mieux lui. C'est le pont Kachina, nom de danseurs de la religion Hopi.

Notre tournée pédestre est terminée et en sommes fiers. On a beaucoup appris et investi d'efforts musculaires. Il faut maintenant s'installer pour la nuit. 
Nous trouvons un camping sauvage(sans service).


C'est notre site(payé "cash") dans une enveloppe déposée dans la boite  à cet effet.Quelle murale
pour nous simples vagabonds!



Bon souper! Remarquez les fraises fraîches sur la table.


Et la partie de "Rummy" que je gagne avant la nuit tombée!


Qu'en dites-vous? J'espère que vous allez m'envoyer votre commentaire... Ce fut pour moi la plus belle journée de notre voyage.


Gilles Vagabond

GOOSENECKS STATEPARK

Le 23 mars, lever sur un stationnement de Wall Mart, échangeons avec un Montréalais qui voyage depuis 22ans en VR. Pour lui, il n'y a que l'ouest des USA qui compte. Il ne veut plus rien savoir de la Floride.
Arrêt près de McDonald pour utiliser le "Lap Top", puis itinéraire pour Mexican Hat.

La route est comme la 132 de Berthier mais sans accotement sécuritaire. 

Le paysage surprend toujours.














Je ne peux pas résister à capturer cette image...Des idées de chocolat en volute me saisissent de l'estomac au cerveau. Comme je ne peux virer le VR, je refais la route à pied sur 1 mille...Oui mon Émile!
N'en a-t-il pas l'air?

Ces chèvres trouvent le pâturage meilleur le long de la route.














L’accotement a été labouré le long de la route comme pour décourager le voyageur de s'arrêter ou par économie sur le budget de la voirie. C'est le désert vierge. Aucune culture. Peu ou pas d'électricité.












Nous sommes en territoire autochtone, les habitations sont délabrées, les sources de revenus faibles. Comme ici quelques-uns vont tenter la pêche aux touristes et préparent un kiosque de souvenirs. 


Je peux enfin ranger mon véhicule.
Celui-ci a devancé la saison et offre de l'artisanat que l'on distingue mal même au zoom.
"Je ne tiens pas à vendre."















Dans cette colline rocheuse on a mélangé les coulis:caprice géologique!

 Sur une bonne distance (Utha)














Nous arrivons finalement à destination: Goosenecks State Park que nous allons parcourir des yeux à partir d'un promontoire accidenté. 
San Juan River: 3 méandres d'une profondeur de 300 mètres(1000 pi.)

En arrivant, nous faisons la connaissance d'un couple d'Allemands dans la soixantaine avec qui nous échangeons en français et en anglais... 













Est-ce Goose Mother devant "Goosenecks" ?


Goosenecks


Malgré le vertige nous prenons cette photo.


Et Julienne risque cette pose.


Est-ce assez sinueux comme descente?


En quittant ce parc rustiquement aménagé nous nous alignons dans la mauvaise direction. Ce qui nous oblige à chevaucher une montagne très accidentée sur fond de gravier et empattement  assez étroit. Impossible de rencontrer!!!
Et pourtant on rencontre très lentement!

Sur le bord du précipice!


Ça monte toujours...On avait le bon véhicule. Avec "Fiftwheel, impossible.


Enfin du pavage et assez large















Et d'inséparables murs de roc





Et l'on couchera dans un camping à Bluff une nuit pour s'en remettre.

Y-a-t-il plus VAGABONDS que nous?
La mise est ouverte.

À beintôt,

Gilles Vagabond