Hello le monde,
Nous pensons entrer au Canada lundi dans la journée. Il nous reste 575 milles à rouler à 65 milles à l'heure, pour arriver à Montréal. Espérons qu'il n'y aura pas de refoulement.
Message pour ceux qui nous écrivent leurs commentaires. Ça nous réconforte et ça fait plaisir.
Oui Nicole ça marche, tu as le spot. Tu es prête pour notre prochain voyage!!
Amélie et Laurie, oui nous nous ennuyons de vous et avons très hâte de vous voir. Nous vous aimons beaucoup. Bisous à Coralie
Anthony et Laurence, nous arriverons dans 3 ou 4 dodos. Nous vous aimons aussi beaucoup.
Alice et Justine, nous vous aimons beaucoup et avons très hâte de vous revoir.
Martin, nous apprécions beaucoup ton appui et l'aide technique apportée avant le départ. Ça nous sert tous les jours.
Isabelle, merci pour ce que tu fais auprès de ma mère et de Pierre, ça m'a permis de profiter pleinement de mon voyage
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Les vagabonds en pleine jouvence
samedi 28 avril 2007
26 avril 2007
Départ ce matin de Tallahassee vers 9h00 au beau soleil. Direction nord. Nous nous sommes tracé un itinéraire personnalisé pour éviter les hwy si achalandés. La formule semble efficace, nous pouvons garder une allure de 55 à 65m/h en respectant les limites de vitesse. C’est plus rapide que les grandes artères. Quand nous sommes passés en Georgie, la topographie a changé littéralement, c’est devenu montagneux et les palmiers ont disparu. On se serait cru dans un coin de la belle province au mois de juin. Nous sommes arrêtés pour dîner et ensuite un peu plus loin, le chauffeur avait besoin d’une sieste. Nous avions ciblé un camping KOA à Anderson en Caroline du sud (sur les limites entre la Georgie et la Caroline du sud) pour ce soir mais les conditions atmosphériques ont changé, assez pour éprouver notre ténacité. Mais encore une fois notre bonne étoile vient à notre secours et nous déploie une plaza où trône Wall Mart. Notre BT était content de s’arrêter ainsi que le chauffeur. Quelle aubaine, aucun branchement à faire, nous sommes en camping sauvage en pleine civilisation. Souper léger, salade légumes et œufs, 2 bières suivies d’un gros plat de fraises géantes achetées ce matin. Il n’y a rien de trop beau pour les vagabonds!! 26 oC., à 21h30.
Départ ce matin de Tallahassee vers 9h00 au beau soleil. Direction nord. Nous nous sommes tracé un itinéraire personnalisé pour éviter les hwy si achalandés. La formule semble efficace, nous pouvons garder une allure de 55 à 65m/h en respectant les limites de vitesse. C’est plus rapide que les grandes artères. Quand nous sommes passés en Georgie, la topographie a changé littéralement, c’est devenu montagneux et les palmiers ont disparu. On se serait cru dans un coin de la belle province au mois de juin. Nous sommes arrêtés pour dîner et ensuite un peu plus loin, le chauffeur avait besoin d’une sieste. Nous avions ciblé un camping KOA à Anderson en Caroline du sud (sur les limites entre la Georgie et la Caroline du sud) pour ce soir mais les conditions atmosphériques ont changé, assez pour éprouver notre ténacité. Mais encore une fois notre bonne étoile vient à notre secours et nous déploie une plaza où trône Wall Mart. Notre BT était content de s’arrêter ainsi que le chauffeur. Quelle aubaine, aucun branchement à faire, nous sommes en camping sauvage en pleine civilisation. Souper léger, salade légumes et œufs, 2 bières suivies d’un gros plat de fraises géantes achetées ce matin. Il n’y a rien de trop beau pour les vagabonds!! 26 oC., à 21h30.
27 avril 2007
Etant déjà campés chez Wal Mart, donc gratos nous étions déjà « mindés » pour compléter nos emplettes …Au lever(7hres) le magasin était déjà ouvert. Alors nous allons chercher l’épicerie qui nous manque. J’en profite pour m’informer où obtenir un jeu PC qu’on ne trouve plus à Québec…C’est le magasin à côté : « Games Plus » mais il n’ouvre qu’à 10 heures! Je reviens chez W.M. et remarque qu’à l’arrière du magasin ils ont le service : « Tires and Lub ». Je pense aussitôt à B.T. Un bon changement d’huile lui ferait du bien. D’autant plus qu’il ne m’en coûterait que 45$.
Je rejoins donc Julienne et lui fais part de mes bonnes idées : changement d’huile, magasin de jeux qui ouvre et on devrait quitter vers 11hres.
On conduit donc le VR au garage et je remplis la fiche. On nous dit alors que notre tour serait à 11h30!(il nous faut attendre 90 min.). Pourtant, il n’y avait qu’un pick-up avant nous. Mais le service est assuré par des noirs et ils ont plus le goût de blaguer que de s’activer. Nous décidons de jouer le jeu et de rattraper le temps autrement. On leur laisse le VR et on va inventorier un « Dollar General » puis on remonte dans notre « Motor Home »Notre tour vient enfin et un employé rentre le VR sur le « Pit » avec nous dedans. On joue une partie de Rummy puis on se fait à dîner pendant que notre bête subit son lavement. Les employés trouvent cela encore plus cool et rentrent en conversation avec nous.
A midi on décolle, satisfaits du bon service et de la cordialité de nos intervenants. Il faudra maintenant rouler sérieusement. Julienne travaille son GPS pour lui faire accepter les petites routes de campagne qui nous emmèneront vers les 85, 77 puis 81 …On veut camper ce soir à Salem…Tout un défi! J’ai dû virer sur un dix cents à quelques reprises pour revenir dans la bonne direction. Vers 17hres, je déclare forfait; il faut arrêter absolument pour reposer le chauffeur. Trente minutes lui suffisent, sur un Rest Area pour reprendre ses esprits et se remettre les yeux vis-à-vis des trous. Ce fut utile, car le paysage de la Virginie en valait le coup d’œil : « Ils n’ont rien à envier à nos Laurentides! » Le réservoir du camion affichait moins du ¼ et nous avions encore 60 milles à parcourir dans les montagnes impressionnantes stimulés par des vannes qui nous provoquaient à la vitesse, roulant souvent à 70 milles à l’heure.
Enfin, sortie 32 : Salem. Il est 19hres, on pénètre sur le camping. Direction « Office » par là.
C’est pourtant cela! On dirait un chack d’un entrepreneur en démolition. Une bonne dame assistant à notre hésitation, vient nous confirmer que c’est bien là et qu’il faut sonner.
On finit par s’entendre avec le locateur. « C’est la dernière place qui reste… » On n’est tellement fatigué que ça nous impressionne pas du tout. Surtout quand il nous remet la liste de tous les canaux de TV qu’on peut consulter avec le plan du terrain. Pour nous tout ce qui compte : a-t-on l’électricité, l’eau courante et les égouts? Sur l’affirmative, on paie pour une nuit et on va s’installer. Tout en dégustant un bon repas à la dinde cuite dans notre four à convection on rappelle notre étonnement de la réception qu’on a eue de ce genre d’homme des cavernes pieds nus qui me faisait signer mon reçu de carte de crédit à travers un tas de paperasses remplissant le dessus de son bureau. J’ai failli emporté un reçu que je pensais mien.
Etant déjà campés chez Wal Mart, donc gratos nous étions déjà « mindés » pour compléter nos emplettes …Au lever(7hres) le magasin était déjà ouvert. Alors nous allons chercher l’épicerie qui nous manque. J’en profite pour m’informer où obtenir un jeu PC qu’on ne trouve plus à Québec…C’est le magasin à côté : « Games Plus » mais il n’ouvre qu’à 10 heures! Je reviens chez W.M. et remarque qu’à l’arrière du magasin ils ont le service : « Tires and Lub ». Je pense aussitôt à B.T. Un bon changement d’huile lui ferait du bien. D’autant plus qu’il ne m’en coûterait que 45$.
Je rejoins donc Julienne et lui fais part de mes bonnes idées : changement d’huile, magasin de jeux qui ouvre et on devrait quitter vers 11hres.
On conduit donc le VR au garage et je remplis la fiche. On nous dit alors que notre tour serait à 11h30!(il nous faut attendre 90 min.). Pourtant, il n’y avait qu’un pick-up avant nous. Mais le service est assuré par des noirs et ils ont plus le goût de blaguer que de s’activer. Nous décidons de jouer le jeu et de rattraper le temps autrement. On leur laisse le VR et on va inventorier un « Dollar General » puis on remonte dans notre « Motor Home »Notre tour vient enfin et un employé rentre le VR sur le « Pit » avec nous dedans. On joue une partie de Rummy puis on se fait à dîner pendant que notre bête subit son lavement. Les employés trouvent cela encore plus cool et rentrent en conversation avec nous.
A midi on décolle, satisfaits du bon service et de la cordialité de nos intervenants. Il faudra maintenant rouler sérieusement. Julienne travaille son GPS pour lui faire accepter les petites routes de campagne qui nous emmèneront vers les 85, 77 puis 81 …On veut camper ce soir à Salem…Tout un défi! J’ai dû virer sur un dix cents à quelques reprises pour revenir dans la bonne direction. Vers 17hres, je déclare forfait; il faut arrêter absolument pour reposer le chauffeur. Trente minutes lui suffisent, sur un Rest Area pour reprendre ses esprits et se remettre les yeux vis-à-vis des trous. Ce fut utile, car le paysage de la Virginie en valait le coup d’œil : « Ils n’ont rien à envier à nos Laurentides! » Le réservoir du camion affichait moins du ¼ et nous avions encore 60 milles à parcourir dans les montagnes impressionnantes stimulés par des vannes qui nous provoquaient à la vitesse, roulant souvent à 70 milles à l’heure.
Enfin, sortie 32 : Salem. Il est 19hres, on pénètre sur le camping. Direction « Office » par là.
C’est pourtant cela! On dirait un chack d’un entrepreneur en démolition. Une bonne dame assistant à notre hésitation, vient nous confirmer que c’est bien là et qu’il faut sonner.
On finit par s’entendre avec le locateur. « C’est la dernière place qui reste… » On n’est tellement fatigué que ça nous impressionne pas du tout. Surtout quand il nous remet la liste de tous les canaux de TV qu’on peut consulter avec le plan du terrain. Pour nous tout ce qui compte : a-t-on l’électricité, l’eau courante et les égouts? Sur l’affirmative, on paie pour une nuit et on va s’installer. Tout en dégustant un bon repas à la dinde cuite dans notre four à convection on rappelle notre étonnement de la réception qu’on a eue de ce genre d’homme des cavernes pieds nus qui me faisait signer mon reçu de carte de crédit à travers un tas de paperasses remplissant le dessus de son bureau. J’ai failli emporté un reçu que je pensais mien.
mercredi 25 avril 2007
NOUVELLE EXPÉDITION
25 avril 2007Les vagabonds à leur bureau
d'édition, en train de lire leurs courriels et d'y répondre.
Aujourd'hui encore une autre journée pleine de soleil. Ce matin, nous avions besoin de notre monture car l'expédition choisie est à 20 milles de notre camping. Alors il faut tout déconnecter: eau courante, égoût, électricité...Rentrer les extensions et consolider le bagage intérieur. C'est devenu pour nous de toute façon, une routine.
Notre "Guide de la Route de la CAA" nous conseillait Edward Ball Wakula Springs State Park. Bon conseil. Nous nous y précipitons. Gilles s'était encore levé à 7h00 pour ne rien manquer. Rendus sur place, le site en offrait plus que le guide de la CAA. Le bateau à fond plat partait à 11hres; il est 10h45...Nous courons au BT sur le stationnement et récupérons sac à dos et caméras, huile à bronzer et insectifuge.
A l'heure pile nous sommes sur le quai d'embarquement.
La tournée commence et durera 1 heure sur une nappe d'eau de source chaude, claire comme le cristal. Des poissons de 16 à 20 pouces de long sautent litéralement de l'eau de tous côtés. Il ne nous manque que la poêle à frire. Encore là les alligators surgissent ici et là en seigneurs vénérés et protégés. Les tortues se grappent par 3 ou 4 sur des troncs morts. Les oiseaux aquatiques pullulent à 2 heures, à 9 heures, à 11 heures bref, il y en a partout. P.S.: les heures dont je fais mention est la façon de notre quide d'indiquer dans quelle direction regarder. C'est assez pour détraquer une horloge même à mouvement suisse. Car des animaux à voir, il y en a tous les 3 mètres. Je crois même que le vidéo que j'ai fait est tout croche, tellement c'est excitant. Je pesais sur pause alors que je voulais filmer et vice-versa.
A part la nappe d'eau que nous avons parcourue (l'équivalent de 3 fois le lac Pont-de-Pierre) le site mesurait plusieurs hectares de forêt bien conservée et découpée par de longs sentiers pédestres. Nous avons pu faire de la bicyclette(tout fiers d'avoir pensé les traîner en voyage.
Encore un belle journée bien remplie et couronnée par un bon bain dans la piscine du camping.
mardi 24 avril 2007
VERS TALLAHASSEE...UN VIGNOBLE
24 avril 2007Nous quittons Crystal River vers une nouvelle destination : Tallahassee. En route arrêt à la banque pour retirer 300$, puis nous arrêtons chez Coast RV pour payer notre dû. Il était très content de nous revoir... Très chaud 32 oC. Ciel bleu sans nuage, nous roulons sur une route rectiligne et plane à 55mi/h. Plusieurs arrêts dont un à l'épicerie, au gaz et un dîner sur le pouce aux sandwiches. On a failli manquer le principal: Dakotah Winery, à Chiefland, ça valait l'arrêt. C'est un vignoble opéré par un père et son fils depuis 22 ans. De toute beauté, aménagé avec goût, décoré d'une façon professionnelle. Nous avons eu droit à une dégustation (ça nous rappelait Jost en Nouvelle-Écosse), une visite des lieux, à l'intérieur et à l'extérieur.
Nous sommes maintenant installés à Tallahassee RV Park depuis 17h00 et avons déjà fait une saucette à la piscine. Nous planifions une belle excursion pour demain.
Encore une fois nous avons la chance d'avoir Internet sur le camping et ici ce n'est pas limité. C'est compris dans le prix de la location.
On croirait que vous êtes gênés de donner vos commentaires sur le blog. N'attendez pas que nous soyons de retour à Québec. Pour nous c'est comme un bon vin, il est bon quand on le prend!
Si vous êtes fatigués de nous lire, dites-le; nous arrêterons d'écrire... pour consacrer ce temps à penser à vous dans nos chaises longues.
JOURNÉE INCONTOURNABLE...
23 avril
Journée splendide, ciel d’un bleu pur. Nous projetons une nouvelle excursion à bicyclette mais tout change lorsque le système d’alarme du propane se déclenche. Le chauffe-eau ne fonctionne plus. Nous examinons la situation avec un flegme anglais en cherchant les causes possibles de cette panne. N’y parvenant pas, nous nous dirigeons vers la réception pour consulter le préposé au propane. Sur son conseil, nous acceptons de faire venir un technicien volant « Coast ». Il sera là dans une heure….trois heures plus tard, il n’est pas encore là. Je retourne demander à Bobby de rappeler. Quelques minutes plus tard, notre homme apparaît la queue de cheval sur l’épaule. Il évente littéralement le bas des murs de la cuisine, soufflant, suant en multipliant les tests sur tous les fusibles que nous avons. De guerre lasse, il me demande de partir le moteur après avoir changé un contrôle du chauffe-eau, ce que je fais et aussitôt le problème est résolu. Les frais s’élèvent à 277,66 $US, moitié temps et moitié pièce. Il n’accepte pas de carte de crédit, comment allons-nous payer? Gilles demande au bureau si c’est possible de mettre les frais sur sa carte de crédit et de payer eux-mêmes le montant. La préposée à la réception le ramène en car électrique et vient négocier avec nous. Rien à faire, nous devrons nous rendre à la banque demain pour retirer le montant exigé.
Notre flegme ne nous a pas trahi, nous encaissons cette nouvelle tuile stoïquement, ce qui prouve "qu’acquérir n’a pas de prix".
En voyant partir la camionnette, je me disais : "C'est pas possible, nous ne pouvons avoir un médecin à la maison pour un enfant malade et le doc. du motorisé vient à domicile....
dimanche 22 avril 2007
PISCINE DU CRYSTAL ISLES RESORT
22 avril 2007Ces deux images prises à la piscine montrent avec quel goût ils aménagent
leur camping et quelle vie de misère nous avons!!!Nous nous sommes bien abstenus de prendre des photos des baigneurs énormes qui barbotent dans le spa trouvant l'eau trop froide au large.
GOLFE DU MEXIQUE
Voici une image du golfe du Mexique où nous sommes allés nous tremper les pieds lors de notre journée de "farniente". Cet endroit est la place où Gilles se tenait pour attrapper des crabes. Moi, j'étais sur une plage de sable blanc. Au loin à droite nous voyons les pêcheurs du dimanche sur un quai (ils sont omniprésents partout où nous circulons sur la côte ouest). Dans tous les campings, il y a un débarcadère pour ceux qui ont la chance de posséder une embarcation plus souvent grosse que petite.VISITE D'UN PARC DE CONSERVATION
22 avril 2007Cette photo de flamants roses a été prise hier lors de notre visite au parc à Homosassa.
Ce matin nous avons changé de camping afin de nous rapprocher d'une plage sur le bord du golfe du Mexique. Nous sommes à Crystal River. Ce fut une journée de "farniente" enfin, relaxer au gros soleil à 32 oC., puis baignade dans la piscine du camping.
20 et 21 avril 2007
20 avril 2007
Lever à 7h00 au roucoulement des tourterelles. Très beau. La nuit a même été chaude. Gilles va voir la plage à environ 1km et la trouve dégueulasse. J’y vais à mon tour et on est d’accord pour laisser le camping pour midi (check out at noon) Avant de tout quitter, Gilles part avec sa caméra et fait le plein de tous ces oiseaux qui semblent en liberté. Nous commençons à emballer notre équipement, boyaux, fil etc. et on décide Homosassa pour le prochain camping. Comme nous avons Internet, Gilles veut écrire à Laurent avant de partir mais sa lettre reste à l’état brouillon. Nous prenons la route vers le nord, pénible ascension par la 19, entrecoupée à tous les 2 milles par des feux de circulation et des travaux sur la route. Nous atteignons enfin Homasassa vers 19h30. L’office est fermé, c’est comme un non vacancy, mais en cherchant bien nous trouvons le site 80. Chapeau pour le GPS qui nous a orienté jusqu’à la porte du camping et on peut dire que c’était assez compliqué. Et le paiement sera pour demain à l’ouverture.
21 avril 2007
Lever vers 7h30. 21o C. Je trouvais que c’était frais. À 9hoo, nous nous présentons à la réception pour régler notre camping et prenons des renseignements sur les activités aux alentours. Ici sur le camping, il y a beaucoup de saisonniers qui laissent leur roulotte ou fifth wheel sur le terrain et ça leur sert de chalet. Ils partent à la pêche en bateau car ils ont aussi un parking pour les bateaux. Les plus vieux s’assoient à leur porte avec leurs chiens et regardent passer les gens. Nous avons roulé vers « Homosassa Springs Wildlife Park » tout en arrêtant à la bibliothèque pour demander une connection Internet sans fil Wi-Fi et ce n’est pas installé ici. Rendus au Parc, sommes entrés dans un kiosque d’Information pour compléter nos renseignements et retour au BT pour dîner. Bien documentés, nous enfourchons nos vélos pour une bonne visite du parc avec tout notre attirail, caméra, vidéo, jumelles. La visite a duré environ 3 heures. C’était très bien. Avons vu des lamantins de près, des serpents, des oiseaux en quantité, même des flamants roses, un hippopotame, des cougars etc. Aussi des Américains et Américaines énormes. Sommes revenus au camping en vélo, 25 km pour notre journée. Ici il n’y a pas de côte, le vélo est très facile et les automobilistes nous cèdent le passage aux intersections. On n’a pas rencontré un seul cycliste de la journée.
Lever à 7h00 au roucoulement des tourterelles. Très beau. La nuit a même été chaude. Gilles va voir la plage à environ 1km et la trouve dégueulasse. J’y vais à mon tour et on est d’accord pour laisser le camping pour midi (check out at noon) Avant de tout quitter, Gilles part avec sa caméra et fait le plein de tous ces oiseaux qui semblent en liberté. Nous commençons à emballer notre équipement, boyaux, fil etc. et on décide Homosassa pour le prochain camping. Comme nous avons Internet, Gilles veut écrire à Laurent avant de partir mais sa lettre reste à l’état brouillon. Nous prenons la route vers le nord, pénible ascension par la 19, entrecoupée à tous les 2 milles par des feux de circulation et des travaux sur la route. Nous atteignons enfin Homasassa vers 19h30. L’office est fermé, c’est comme un non vacancy, mais en cherchant bien nous trouvons le site 80. Chapeau pour le GPS qui nous a orienté jusqu’à la porte du camping et on peut dire que c’était assez compliqué. Et le paiement sera pour demain à l’ouverture.
21 avril 2007
Lever vers 7h30. 21o C. Je trouvais que c’était frais. À 9hoo, nous nous présentons à la réception pour régler notre camping et prenons des renseignements sur les activités aux alentours. Ici sur le camping, il y a beaucoup de saisonniers qui laissent leur roulotte ou fifth wheel sur le terrain et ça leur sert de chalet. Ils partent à la pêche en bateau car ils ont aussi un parking pour les bateaux. Les plus vieux s’assoient à leur porte avec leurs chiens et regardent passer les gens. Nous avons roulé vers « Homosassa Springs Wildlife Park » tout en arrêtant à la bibliothèque pour demander une connection Internet sans fil Wi-Fi et ce n’est pas installé ici. Rendus au Parc, sommes entrés dans un kiosque d’Information pour compléter nos renseignements et retour au BT pour dîner. Bien documentés, nous enfourchons nos vélos pour une bonne visite du parc avec tout notre attirail, caméra, vidéo, jumelles. La visite a duré environ 3 heures. C’était très bien. Avons vu des lamantins de près, des serpents, des oiseaux en quantité, même des flamants roses, un hippopotame, des cougars etc. Aussi des Américains et Américaines énormes. Sommes revenus au camping en vélo, 25 km pour notre journée. Ici il n’y a pas de côte, le vélo est très facile et les automobilistes nous cèdent le passage aux intersections. On n’a pas rencontré un seul cycliste de la journée.
jeudi 19 avril 2007
SANIBEL, côte ouest...
19 avril
Ce matin avons quitté notre camping gratuit de Monument Lake pour remonter vers la côte ouest à Sanibel Island. Il faisait très chaud et beau. Après Naples qui est une très belle ville, nous sous sommes payés un trajet difficile, (la 41) entrecoupée de feux de circulation sur des dizaines de milles de distance et beaucoup de travaux de rénovation des routes. Notre GPS a travaillé très fort pour nous sortir de ce pétrin. Que c'est donc un bon outil pour nous sortir des villes lorsque les indications sont déficientes. Pratique notre BT, à midi sonnant, pause sur un petit stationnement de Plaza pour dîner et se reposer. Après consultation du GPS nous nous remettons en route. Enfin dans la bonne direction ouest, nous arrivons à Sanibel. À l'information touristique on apprend qu'il y a un réseau de pistes cyclables qui nous amènent dans toutes les directions souhaitées et même un camping. Toutes les informations que nous avions cumulées nous laissaient penser qu'il n'y avait pas de camping sur cette île et pourtant c'est l'un des plus beaux que nous ayons eu depuis le départ. De plus, nous pouvons ENFIN communiquer par Internet à partir du BT, à l'heure qui nous convient, bien assis chez nous sans personne d'autre autour.
Vers 15h00, nous enfourchons nos vélos pour une visite de la réserve faunique J.N. "Ding" Darling, en empruntant les pistes cyclables, même sur la réserve. Les découvertes sont tellement nombreuses qu'elles dépassent beaucoup notre attente : Limules (horse shoe crab), grèbes, aigrettes et hérons blancs, plusieurs échassiers, ibis, raton-laveur qui nous marche pratiquement sur les pieds, tout cela sur une distance de 4 milles pour 1$ d'entrée alors que les américains pour la plupart paient 6$ et font la visite en auto en attendant que les animaux viennent les voir.
Oh j'oubliais de vous dire que lorsque nous revenons au motorisé après les visites en fin d'après-midi, même s'il est à l'ombre et les puits ouverts sur le toit, il fait 35o. Nous sommes obligés de partir l'air climatisé, de s'asseoir dehors et de prendre une bière pendant que ça refroidit à l'intérieur.
Ce matin avons quitté notre camping gratuit de Monument Lake pour remonter vers la côte ouest à Sanibel Island. Il faisait très chaud et beau. Après Naples qui est une très belle ville, nous sous sommes payés un trajet difficile, (la 41) entrecoupée de feux de circulation sur des dizaines de milles de distance et beaucoup de travaux de rénovation des routes. Notre GPS a travaillé très fort pour nous sortir de ce pétrin. Que c'est donc un bon outil pour nous sortir des villes lorsque les indications sont déficientes. Pratique notre BT, à midi sonnant, pause sur un petit stationnement de Plaza pour dîner et se reposer. Après consultation du GPS nous nous remettons en route. Enfin dans la bonne direction ouest, nous arrivons à Sanibel. À l'information touristique on apprend qu'il y a un réseau de pistes cyclables qui nous amènent dans toutes les directions souhaitées et même un camping. Toutes les informations que nous avions cumulées nous laissaient penser qu'il n'y avait pas de camping sur cette île et pourtant c'est l'un des plus beaux que nous ayons eu depuis le départ. De plus, nous pouvons ENFIN communiquer par Internet à partir du BT, à l'heure qui nous convient, bien assis chez nous sans personne d'autre autour.
Vers 15h00, nous enfourchons nos vélos pour une visite de la réserve faunique J.N. "Ding" Darling, en empruntant les pistes cyclables, même sur la réserve. Les découvertes sont tellement nombreuses qu'elles dépassent beaucoup notre attente : Limules (horse shoe crab), grèbes, aigrettes et hérons blancs, plusieurs échassiers, ibis, raton-laveur qui nous marche pratiquement sur les pieds, tout cela sur une distance de 4 milles pour 1$ d'entrée alors que les américains pour la plupart paient 6$ et font la visite en auto en attendant que les animaux viennent les voir.
Oh j'oubliais de vous dire que lorsque nous revenons au motorisé après les visites en fin d'après-midi, même s'il est à l'ombre et les puits ouverts sur le toit, il fait 35o. Nous sommes obligés de partir l'air climatisé, de s'asseoir dehors et de prendre une bière pendant que ça refroidit à l'intérieur.
Quelques photos
Voici le cerf à queue blanche nain, (à gauche) dans la réserve naturelle de Long Pine Key (gros comme un chien moyen). et un des alligators de Royal Palm dans le parc des Everglades (à droite). En haut, une tortue sortant de son bain.
LES VAGABONDS.3
14 avril 2007 (suite)
Après notre promenade en vélo 34km aller/retour afin d’avoir une connection Internet, nous nous sommes reposés dans nos chaises, face à la mer en discutant de notre programme de demain afin d’aller voir les fameux petits cerfs. Pendant le souper qu’est-ce qu’on aperçoit près du campeur, deux petits cerfs. Gilles est sorti aussitôt avec sa caméra et il a pu prendre qq clichés. Ensuite c’est 4 ou 5 qui se promenaient sur le terrain et les enfants les approchaient et les flattaient. Ils ne sont pas peureux du tout (les cerfs).
15 avril 2007
Lever vers 7 :30. Venteux, se couvrant de plus en plus, menaçant. Après une visite nécessaire au coin « laundry » (1h00), nous décidons de nous rendre à Key West. Déception, les routes acceptant les VR sont en re-construction, très étroites, tellement que nous accrochons le rétroviseur de droite. Retour vers le bercail au plus vite, le ciel est encore plus menaçant. On fait quand même une petite pause-épicerie au Big Pine Key centre. L’orage nous attend au camping. La pluie est commencée. Gilles remet les connections à la pluie avec un parapluie pendant que je sors les extensions. Nous jouons une partie de Rummy en prenant un bon rhum. Des éclairs et du tonnerre au bord de la mer, c’est trippant!!! Un couple de Québécois venant de St-Césaire arrive sur le terrain en avant du nôtre. Nous en profitons pour nous délier la langue. Ça fait du bien!
16 avril 2007
Lever vers 8h00. Très venteux, ensoleillé mais frais (70o environ) Ça change du temps très chaud et ça me gêne de vous dire que j’étais gelée et que je cherchais mon gilet. Départ du camping vers 9h45, en direction du nord. Nous entamons la 2e partie du voyage, les directions sont maintenant NORD. Après qq arrêts en route soit pour admirer du paysage, ou manger ou fureter dans qq boutiques, nous arrivons à l’entrée des Everglades. Gilles est très enthousiaste et surveille le moindre mouvement dans les environs pour admirer un spécimen de la faune ou encore de la flore. Moi je cherche plus une place où je pourrais installer ma chaise longue. Ça prend de tout pour faire un monde… À la barrière on nous informe que nous en avons encore pour une heure avant d’atteindre le camping Flamingo que nous avons choisi. Il est 4h00. Nous abordons les derniers milles tout en cherchant des spécimens sauvages que nous espérons rencontrer ici. Gilles me nomme les oiseaux qui sont un peu partout et moi j’admire une tortue d’environ 20 po. de diamètre près du bois en bordure de la route. Arrivés au camping vers 4h45, surprise : personne à l’accueil! Self registration and pay here (une boîte en ciment)
Seulement qq campeurs sont sur une partie A et les autres parties sont fermées. Nous regardons, il n’y a aucun service sur les terrains. Nous faisons le tour au complet de cette section, la seule ouverte et réalisons qu’un terrain à l’écart a une alimentation en eau courante et des prises électriques. Nous décidons de nous y installer même si nous sommes à l’écart des autres campeurs. Pour l’eau ça va mais l’électricité est coupée. Il faut toujours penser qu’ici, c’est la saison morte pour le touriste alors que chez nous à Québec nous allons vers la saison touristique. Nous avons un grand terrain seulement pour nous. Ça fait toute une différence car depuis le départ nous avions des terrains tout juste pour installer le campeur et en faire le tour. Aucune intimité, sauf à Disney où nous avions de la végétation tout le tour. Nous attendons à demain, nous aurons peut-être la visite d’un « ranger » pour nous faire déplacer ou à tout le moins nous collecter. Après le souper nous sommes allés marcher et avons rencontré un couple d’Allemands avec leur fils d’environ 18 ans. Ils visitent les Etats-Unis depuis l’hiver dernier et retourneront chez eux à l’automne. Le garçon nous a dit qu.il avait appris le français pendant 3 ans et tout ce qu’il se rappelait était : «Bonjour, mon nom est : Stéphane. » Lorsque nous les avons quittés il était fier de nous dire : « Au revoir » et encore plus fier de constater que je l’avais compris.
17 avril 2007
Que le temps passe vite en vacances! Beau ensoleillé, venteux. 27o. Dès 9h00, nous étions sur nos vélos pour explorer les alentours. Nous avons fait la trail Bear Lake et Rowdy Bend, totalisant 12 km en vélo et 4 à pied + le tour du camping au complet (encore 3km). Les trails sont vaseuses, et ne réservent aucune surprise en découverte à part les plantes épiphytes abondantes. De plus nos vélos étaient crottés. Au retour on finit par admettre qu’on occupait le terrain logeant le puisard du camping avec l’eau courante, ce que les autres n’avaient pas. Nous sommes déménagés sur un site plus petit vers 4h30 après avoir fait le vide de nos bassins. Nous sommes maintenant sans eau, sans électricité comme tous les autres campeurs des Éverglades.
18 avril 2007
Nous pensions avoir une connection Internet au début de la semaine mais nous sommes en régions sauvages, Les Éverglades, et les campings sont demi-fermés. Nous entrons, nous nous installons et sommes sur notre propre pouvoir pour l’eau et l’électricité, le camping sauvage, dans un beau « campe ». Je voulais vous dire que j’ai reçu des courriels de Myriam, Isabelle, Martin, Ghislaine et nous en sommes très heureux. Lorsque je réponds il y a seulement les adresses Sympatico qui s’en vont (donc Myriam) et j’ai un message pour les autres adresses qui m’avertit qu’il y a une erreur!!! Isabelle, j’espère que les enfants sont mieux! Tu salueras maman et Pierre pour moi. Martin, c’est l’autre blogue qui envoyait des messages à mes contacts, celui que tu avais créé au début. Ghislaine, nous étions super contents de constater que tu as fait le grand pas, on ne rit pas, un nouvel ordinateur et une connection Internet.
Ce matin nous quittons le camping Flamingo vers 8h30 et avant de sortir du parc, nous décidons de piquer une pointe vers Anhinga Trail. Gilles « capote », des alligators, des tortues, des poissons et des oiseaux de toutes sortes, même 2 petits serpents. C’était le spot ! Tout cela à regarder d’une passerelle de 400 à 500 mètres de circuit aménagée dans un étang. Nous pensions arrêter une vingtaine de minutes et le tour a duré 2h30. Le soleil nous chauffait le cou et les bras. Les matins sont frais mais ça se réchauffe assez vite. En sortant du parc, nous nous dirigeons vers la ville Florida City pour refaire nos provisions et manger sur le pouce. Ici la grosse épicerie c’est Wall Mart. Je ne pensais jamais faire l’épicerie chez Wall Mart, mail il y a de tout même la viande fraîche. Ensuite direction nord ouest pour atteindre la 41 qui longe le haut du parc des Everglades et traverse la « Big Cypress National Preserve ». Notre but est d’atteindre Sanibel Island demain. Nous ne sommes pas loin mais il était temps d’arrêter et nous sommes encore dans un camping sauvage dans Big Cypress. Il y a 3 motorisés et une tente et nous occupons chacun une extrémité du camping. Nous avons essayé la génératrice et elle part très bien mais ça ne change rien. Encore un petit problème d’inexpérience.
Après notre promenade en vélo 34km aller/retour afin d’avoir une connection Internet, nous nous sommes reposés dans nos chaises, face à la mer en discutant de notre programme de demain afin d’aller voir les fameux petits cerfs. Pendant le souper qu’est-ce qu’on aperçoit près du campeur, deux petits cerfs. Gilles est sorti aussitôt avec sa caméra et il a pu prendre qq clichés. Ensuite c’est 4 ou 5 qui se promenaient sur le terrain et les enfants les approchaient et les flattaient. Ils ne sont pas peureux du tout (les cerfs).
15 avril 2007
Lever vers 7 :30. Venteux, se couvrant de plus en plus, menaçant. Après une visite nécessaire au coin « laundry » (1h00), nous décidons de nous rendre à Key West. Déception, les routes acceptant les VR sont en re-construction, très étroites, tellement que nous accrochons le rétroviseur de droite. Retour vers le bercail au plus vite, le ciel est encore plus menaçant. On fait quand même une petite pause-épicerie au Big Pine Key centre. L’orage nous attend au camping. La pluie est commencée. Gilles remet les connections à la pluie avec un parapluie pendant que je sors les extensions. Nous jouons une partie de Rummy en prenant un bon rhum. Des éclairs et du tonnerre au bord de la mer, c’est trippant!!! Un couple de Québécois venant de St-Césaire arrive sur le terrain en avant du nôtre. Nous en profitons pour nous délier la langue. Ça fait du bien!
16 avril 2007
Lever vers 8h00. Très venteux, ensoleillé mais frais (70o environ) Ça change du temps très chaud et ça me gêne de vous dire que j’étais gelée et que je cherchais mon gilet. Départ du camping vers 9h45, en direction du nord. Nous entamons la 2e partie du voyage, les directions sont maintenant NORD. Après qq arrêts en route soit pour admirer du paysage, ou manger ou fureter dans qq boutiques, nous arrivons à l’entrée des Everglades. Gilles est très enthousiaste et surveille le moindre mouvement dans les environs pour admirer un spécimen de la faune ou encore de la flore. Moi je cherche plus une place où je pourrais installer ma chaise longue. Ça prend de tout pour faire un monde… À la barrière on nous informe que nous en avons encore pour une heure avant d’atteindre le camping Flamingo que nous avons choisi. Il est 4h00. Nous abordons les derniers milles tout en cherchant des spécimens sauvages que nous espérons rencontrer ici. Gilles me nomme les oiseaux qui sont un peu partout et moi j’admire une tortue d’environ 20 po. de diamètre près du bois en bordure de la route. Arrivés au camping vers 4h45, surprise : personne à l’accueil! Self registration and pay here (une boîte en ciment)
Seulement qq campeurs sont sur une partie A et les autres parties sont fermées. Nous regardons, il n’y a aucun service sur les terrains. Nous faisons le tour au complet de cette section, la seule ouverte et réalisons qu’un terrain à l’écart a une alimentation en eau courante et des prises électriques. Nous décidons de nous y installer même si nous sommes à l’écart des autres campeurs. Pour l’eau ça va mais l’électricité est coupée. Il faut toujours penser qu’ici, c’est la saison morte pour le touriste alors que chez nous à Québec nous allons vers la saison touristique. Nous avons un grand terrain seulement pour nous. Ça fait toute une différence car depuis le départ nous avions des terrains tout juste pour installer le campeur et en faire le tour. Aucune intimité, sauf à Disney où nous avions de la végétation tout le tour. Nous attendons à demain, nous aurons peut-être la visite d’un « ranger » pour nous faire déplacer ou à tout le moins nous collecter. Après le souper nous sommes allés marcher et avons rencontré un couple d’Allemands avec leur fils d’environ 18 ans. Ils visitent les Etats-Unis depuis l’hiver dernier et retourneront chez eux à l’automne. Le garçon nous a dit qu.il avait appris le français pendant 3 ans et tout ce qu’il se rappelait était : «Bonjour, mon nom est : Stéphane. » Lorsque nous les avons quittés il était fier de nous dire : « Au revoir » et encore plus fier de constater que je l’avais compris.
17 avril 2007
Que le temps passe vite en vacances! Beau ensoleillé, venteux. 27o. Dès 9h00, nous étions sur nos vélos pour explorer les alentours. Nous avons fait la trail Bear Lake et Rowdy Bend, totalisant 12 km en vélo et 4 à pied + le tour du camping au complet (encore 3km). Les trails sont vaseuses, et ne réservent aucune surprise en découverte à part les plantes épiphytes abondantes. De plus nos vélos étaient crottés. Au retour on finit par admettre qu’on occupait le terrain logeant le puisard du camping avec l’eau courante, ce que les autres n’avaient pas. Nous sommes déménagés sur un site plus petit vers 4h30 après avoir fait le vide de nos bassins. Nous sommes maintenant sans eau, sans électricité comme tous les autres campeurs des Éverglades.
18 avril 2007
Nous pensions avoir une connection Internet au début de la semaine mais nous sommes en régions sauvages, Les Éverglades, et les campings sont demi-fermés. Nous entrons, nous nous installons et sommes sur notre propre pouvoir pour l’eau et l’électricité, le camping sauvage, dans un beau « campe ». Je voulais vous dire que j’ai reçu des courriels de Myriam, Isabelle, Martin, Ghislaine et nous en sommes très heureux. Lorsque je réponds il y a seulement les adresses Sympatico qui s’en vont (donc Myriam) et j’ai un message pour les autres adresses qui m’avertit qu’il y a une erreur!!! Isabelle, j’espère que les enfants sont mieux! Tu salueras maman et Pierre pour moi. Martin, c’est l’autre blogue qui envoyait des messages à mes contacts, celui que tu avais créé au début. Ghislaine, nous étions super contents de constater que tu as fait le grand pas, on ne rit pas, un nouvel ordinateur et une connection Internet.
Ce matin nous quittons le camping Flamingo vers 8h30 et avant de sortir du parc, nous décidons de piquer une pointe vers Anhinga Trail. Gilles « capote », des alligators, des tortues, des poissons et des oiseaux de toutes sortes, même 2 petits serpents. C’était le spot ! Tout cela à regarder d’une passerelle de 400 à 500 mètres de circuit aménagée dans un étang. Nous pensions arrêter une vingtaine de minutes et le tour a duré 2h30. Le soleil nous chauffait le cou et les bras. Les matins sont frais mais ça se réchauffe assez vite. En sortant du parc, nous nous dirigeons vers la ville Florida City pour refaire nos provisions et manger sur le pouce. Ici la grosse épicerie c’est Wall Mart. Je ne pensais jamais faire l’épicerie chez Wall Mart, mail il y a de tout même la viande fraîche. Ensuite direction nord ouest pour atteindre la 41 qui longe le haut du parc des Everglades et traverse la « Big Cypress National Preserve ». Notre but est d’atteindre Sanibel Island demain. Nous ne sommes pas loin mais il était temps d’arrêter et nous sommes encore dans un camping sauvage dans Big Cypress. Il y a 3 motorisés et une tente et nous occupons chacun une extrémité du camping. Nous avons essayé la génératrice et elle part très bien mais ça ne change rien. Encore un petit problème d’inexpérience.
mercredi 18 avril 2007
Message de votre technicien
Salut les parents...
Vous savez que vous pouvez consulter vos courriels sympatico.ca à distance. Nous n'avons pas de réponses de votre part.
Pour que l'aventure soit intéressante, nous avons besoin un peu d'interactivité ;-)
Consultez vos courriel à distance à l'aide de l'adresse suivante : http://ouvrircourriel.sympatico.ca/accueil
Bisous
Martin
Vous savez que vous pouvez consulter vos courriels sympatico.ca à distance. Nous n'avons pas de réponses de votre part.
Pour que l'aventure soit intéressante, nous avons besoin un peu d'interactivité ;-)
Consultez vos courriel à distance à l'aide de l'adresse suivante : http://ouvrircourriel.sympatico.ca/accueil
Bisous
Martin
samedi 14 avril 2007
LA SEMAINE DERNIÈRE
Le 9 avril 2007
ARRIVÉE À FORT WILDERNESS, camping sur le site de Disney Lake Buena Vista.
Beau terrain avec une entrée en béton au niveau, entouré de pins majestueux. Nous avons même eu la visite d’un cardinal sur le miroir du camion. L’autobus venait à 100 mètres de notre site pour nous amener au grand stationnement réservé près de l’entrée ou aux autres lieux d’activités de camping. Nous pouvions prendre un transfert pour se rendre aux différents parcs thématiques de Disney. Nous avons choisi Epcot, qui nous semblait être le plus intéressant. Une connection Internet était offerte moyennant 9,95 $ pour 24 heures continues. Nous avons pu mettre nos messages à jour. Chaleureuse réception. Tout le personnel jusqu’au chauffeur d’autobus faisaient leur grand possible pour nous bien renseigner.
Le 10 avril 2007
Lever à 6h30. Couvert et pluie à partir de 14h00 jusqu’aux environs de 20h00 . Nous nous préparons deux lunches. Vers 9h00, départ pour Epcot. À l’arrivée sur le site, c’est le contrôle des sacs de provisions, ensuite l’empreinte digitale en insérant notre billet. Passé ce contrôle, nous sommes libres et commençons la visite par : The seas with Némo & friends, ensuite Imagination présenté par Kodak, Mission space (voyage vers Mars dans une navette spatiale), Soarin (expérience du vol libre au-dessus du Grand Canyon et des pics à vous couper le souffle, au-dessus de la mer, au-dessus du pont de San Francisco etc., avons aussi visité Innoventions qui nous expliquait la technologie de l’avenir pour faciliter la vie dans nos maisons. C’est époustouflant, l’informatique poussée à l’extrême… Malgré la pluie qui tombe, on continue, on veut tout voir. Test Track nous entraîne sur un parcours mouvementé et saccadé avec virages à 90o et arrêts brusques dans une voiture de course (GM) etc…. La soirée s’est terminé en apothéose de feux d’artifices, et jeux de lumière. Retour en autobus vers 10h00. Notre journée fut un succès inespéré.
Le 11 avril 2007
Départ vers 9h00 pour le sud. Nous atteignons Hobe Sound et nous nous installons au Jonathan Dickinson State Park vers 15h00. Enfin la vraie chaleur de la Floride. 35oC à l’intérieur du VR. Depuis ce matin nous avons grimpé de 15o. C’est bon pour le moral mais dur sur le système. À bas les pantalons longs et enfin les bermudas et les gilets camisole. Nous enfourchons nos vélos pour explorer le parc à la recherche de tout ce qui bouge et nous avons trouvé lézards, rainette, alligators (mère et petits). Les pistes sont asphaltées et sur du terrain à peu près plat.
Le 12 avril 2007
Lever vers 7h00. Ciel couvert mais nous décidons d’aller explorer la rivière. 6 km de vélo. Observation d’une famille de balbuzards des marais, une affiche nous suggère la présence de lamantins, à preuve Julienne remarque un bouillonnement dans l’eau. La pluie commence et on s’empresse de revenir au campeur. 35oC. Nos vêtements sèchent aussi vite qu’ils se sont mouillés. Gilles se tape un somme d’une heure après le dîner. Nous apprécions beaucoup l’air climatisé très bruyant mais efficace. Comme le ciel a tourné au beau absolu, on enfourche de nouveau nos vélos pour un approvisionnement au Publix de Hobe Sound par une piste asphaltée en accotement le long de la A1A. Les gens de cette localité ont des faces de bois. Au retour nous calculons une sortie de 17km au total. Gilles a de la difficulté à marcher. La nuit le remettra probablement, nous l’espérons.
13 avril 2007
En effet après une bonne nuit de sommeil, Gilles s’est remis de sa promenade en vélo et nous repartons en exploration sur le State Park. Nous allons saluer l’alligator et les autres « bebittes ». Il faut décamper pour 13h00 mais nous pouvons rester dans le Parc jusqu’à 19h00. Vers 14h00 nous décidons de quitter pour aller vers les Keyes même si les prévisions ne sont pas excellentes pour dimanche. De toute façon même si nous restons ici nous sommes dans la trajectoire de la tempête annoncée. Vers 18h00 nous arrivons à Florida city, dans les environs de Homestead directement sur le stationnement d’un Wall Mart. Nous y campons pour la nuit. Ici les Wall Mart sont ouverts 24h00/24h00.
14 avril 2007
Soleil radieux et chaleur sont au rendez-vous. Direction Les Keys vers 8h30. Arrivée sur le terrain de camping « Big Pine Key » vers 11h00. Il fait 32o dans le motorisé. Nous sommes au bord de la mer. Après le dîner Gilles part en exploration, sur le bord de la mer et dans les environs car il y a un refuge national pour des petits cerfs de la grosseur d’un chien ici. Nous nous croyons pendant les qq jours de canicule à Québec. C’est difficile d’imaginer que peut-être il y a encore de la neige chez nous.
ARRIVÉE À FORT WILDERNESS, camping sur le site de Disney Lake Buena Vista.
Beau terrain avec une entrée en béton au niveau, entouré de pins majestueux. Nous avons même eu la visite d’un cardinal sur le miroir du camion. L’autobus venait à 100 mètres de notre site pour nous amener au grand stationnement réservé près de l’entrée ou aux autres lieux d’activités de camping. Nous pouvions prendre un transfert pour se rendre aux différents parcs thématiques de Disney. Nous avons choisi Epcot, qui nous semblait être le plus intéressant. Une connection Internet était offerte moyennant 9,95 $ pour 24 heures continues. Nous avons pu mettre nos messages à jour. Chaleureuse réception. Tout le personnel jusqu’au chauffeur d’autobus faisaient leur grand possible pour nous bien renseigner.
Le 10 avril 2007
Lever à 6h30. Couvert et pluie à partir de 14h00 jusqu’aux environs de 20h00 . Nous nous préparons deux lunches. Vers 9h00, départ pour Epcot. À l’arrivée sur le site, c’est le contrôle des sacs de provisions, ensuite l’empreinte digitale en insérant notre billet. Passé ce contrôle, nous sommes libres et commençons la visite par : The seas with Némo & friends, ensuite Imagination présenté par Kodak, Mission space (voyage vers Mars dans une navette spatiale), Soarin (expérience du vol libre au-dessus du Grand Canyon et des pics à vous couper le souffle, au-dessus de la mer, au-dessus du pont de San Francisco etc., avons aussi visité Innoventions qui nous expliquait la technologie de l’avenir pour faciliter la vie dans nos maisons. C’est époustouflant, l’informatique poussée à l’extrême… Malgré la pluie qui tombe, on continue, on veut tout voir. Test Track nous entraîne sur un parcours mouvementé et saccadé avec virages à 90o et arrêts brusques dans une voiture de course (GM) etc…. La soirée s’est terminé en apothéose de feux d’artifices, et jeux de lumière. Retour en autobus vers 10h00. Notre journée fut un succès inespéré.
Le 11 avril 2007
Départ vers 9h00 pour le sud. Nous atteignons Hobe Sound et nous nous installons au Jonathan Dickinson State Park vers 15h00. Enfin la vraie chaleur de la Floride. 35oC à l’intérieur du VR. Depuis ce matin nous avons grimpé de 15o. C’est bon pour le moral mais dur sur le système. À bas les pantalons longs et enfin les bermudas et les gilets camisole. Nous enfourchons nos vélos pour explorer le parc à la recherche de tout ce qui bouge et nous avons trouvé lézards, rainette, alligators (mère et petits). Les pistes sont asphaltées et sur du terrain à peu près plat.
Le 12 avril 2007
Lever vers 7h00. Ciel couvert mais nous décidons d’aller explorer la rivière. 6 km de vélo. Observation d’une famille de balbuzards des marais, une affiche nous suggère la présence de lamantins, à preuve Julienne remarque un bouillonnement dans l’eau. La pluie commence et on s’empresse de revenir au campeur. 35oC. Nos vêtements sèchent aussi vite qu’ils se sont mouillés. Gilles se tape un somme d’une heure après le dîner. Nous apprécions beaucoup l’air climatisé très bruyant mais efficace. Comme le ciel a tourné au beau absolu, on enfourche de nouveau nos vélos pour un approvisionnement au Publix de Hobe Sound par une piste asphaltée en accotement le long de la A1A. Les gens de cette localité ont des faces de bois. Au retour nous calculons une sortie de 17km au total. Gilles a de la difficulté à marcher. La nuit le remettra probablement, nous l’espérons.
13 avril 2007
En effet après une bonne nuit de sommeil, Gilles s’est remis de sa promenade en vélo et nous repartons en exploration sur le State Park. Nous allons saluer l’alligator et les autres « bebittes ». Il faut décamper pour 13h00 mais nous pouvons rester dans le Parc jusqu’à 19h00. Vers 14h00 nous décidons de quitter pour aller vers les Keyes même si les prévisions ne sont pas excellentes pour dimanche. De toute façon même si nous restons ici nous sommes dans la trajectoire de la tempête annoncée. Vers 18h00 nous arrivons à Florida city, dans les environs de Homestead directement sur le stationnement d’un Wall Mart. Nous y campons pour la nuit. Ici les Wall Mart sont ouverts 24h00/24h00.
14 avril 2007
Soleil radieux et chaleur sont au rendez-vous. Direction Les Keys vers 8h30. Arrivée sur le terrain de camping « Big Pine Key » vers 11h00. Il fait 32o dans le motorisé. Nous sommes au bord de la mer. Après le dîner Gilles part en exploration, sur le bord de la mer et dans les environs car il y a un refuge national pour des petits cerfs de la grosseur d’un chien ici. Nous nous croyons pendant les qq jours de canicule à Québec. C’est difficile d’imaginer que peut-être il y a encore de la neige chez nous.
lundi 9 avril 2007
LES VAGABONDS ONT TROUVÉ.2
Suite,
Le ranger retourne à son office, il cherchera sur Internet un dépositaire de Vr qui pourra nous réparer.
je couche cette fois-ci sur le plancher de la cuisine, des coussins comme matelas. Julienne reprend son divan.
Jamais deux sans trois se confirme ici pour nous. Le chauffe-eau a une fuite dans le bas de l'armoire... Notre ranger vient encore à notre rescousse et nous trouve du teflon que j'appliquerai aussitôt pour corriger le problème.
Le 3 avril, nous quittons le camping avec en main un tracé nous amenant chez un "RV Dealer" . Mais avant de sortir du camping, arrêt à la dump station des égoûts (image déjà fournie).
Chez le Dealer, je dois remplir une fiche de réparations en bonne et due forme en répétant à la préposée que le problème est probablement léger dû à mon inexpérience du fonctionnement d'un VR. Mais je m'attends à une facture salée. Deux techniciens se présentent et commencent une inspection. Ils découvrent assez vite la cause du problème... s'adressant à Julienne: "The disfunction is here en pointant ma tête... Il faut appliquer le frein de secours pour que les "slide out" fonctionnent. Quand la caissière m'annonce que je n'ai pas de frais à payer, je lui applique un gros bisous sur la joue en la remerciant chaudement et serre fort la main des 2 spécialistes moqueurs.
On file vers le sud. Quand la fatigue nous gagne on décide arrêt dodo. On choisit Dumfries en Virginie pour 2 nuits. Durant la première nuit de forts orages électriques nous réveillent et inquiètent un peu. Le lendemain aux nouvelles on apprend que la foudre a allumé des foyers d'incendie un peu partout dans la région. Au lever, le temps est changé et on part faire l'épicerie à pied.
5 avril
Départ pour Myrtle Beach. Accès refusé au camping choisi. No vacancy! Congé de Pâques. On nous suggère un voisin à peu près de la même taille: autour de 1000 sites de camping. Il y a encore qq places. Nous sommes sur le bord de la mer. Des enfants se baignent alors que nous avons froid avec nos gilets de coton ouaté. Il vente fort. Nous rencontrons 2 québécois de Laval qui remontent au froid mais attendent un peu que la tempête du Québec se calme. Ils sont tellement contents de parler français qu'ils nous invitent à prendre un verre de vin à leur site. Nous avons été 2 jours là et après départ pour St-Augustine, encore 2 jours sur un petit camping en attendant que le congé de Pâques finisse. Encore là pas d'Internet qui fonctionne donc nous avons fait 25km de vélo pour essayer de vous envoyer nos souhaits de Pâques à partir de McDo qui est branché mais je n'arrivais pas à avoir le blogue...
Les deux vagabonds vont souper et se préparer pour Epcot demain.
À la prochaine
Julienne et Gilles
Hello,
Pendant que Gilles compose la suite de son histoire, je m'amuse à vous raconter mes difficultés d'Internaute sans fil. Parfois nous sommes arrêtés sur une halte routière et j'essaie car certains camionneurs ont des réseaux sans fil non protégés. Je compose mon message et je sens que le poisson m'échappe car le signal diminue et comme je ne sais pas lequel des camions a Internet, j'échoue. Je n'ai pas le temps de publier, alors j'attends qu'un autre se présente ou c'est nous qui partons et alors j'essaie sur les terrains de camping et parfois ça marche car certains gros VR genre autobus ont Internet eux aussi mais quand ils ont les moyens de s'acheter ces engins, souvent ils sont vieux et se couchent tôt ou encore ils ferment le réseau pour regarder la TV et j'ai encore le bec à l'eau.
Aujourd'hui, pas de problèmes, Walt Disney me permet d'échanger au coût de 9,95$ u.s. pour 24 heures continues.
Julienne
Pendant que Gilles compose la suite de son histoire, je m'amuse à vous raconter mes difficultés d'Internaute sans fil. Parfois nous sommes arrêtés sur une halte routière et j'essaie car certains camionneurs ont des réseaux sans fil non protégés. Je compose mon message et je sens que le poisson m'échappe car le signal diminue et comme je ne sais pas lequel des camions a Internet, j'échoue. Je n'ai pas le temps de publier, alors j'attends qu'un autre se présente ou c'est nous qui partons et alors j'essaie sur les terrains de camping et parfois ça marche car certains gros VR genre autobus ont Internet eux aussi mais quand ils ont les moyens de s'acheter ces engins, souvent ils sont vieux et se couchent tôt ou encore ils ferment le réseau pour regarder la TV et j'ai encore le bec à l'eau.
Aujourd'hui, pas de problèmes, Walt Disney me permet d'échanger au coût de 9,95$ u.s. pour 24 heures continues.
Julienne
LES VAGABONDS ONT TROUVÉ....
Nous étions conscients que vous étiez inquiets, voici enfin de nos nouvelles.
1er avril 2007 : Lever 5hres.
Nous finissons d’entrer les choses dans le véhicule et assurons la sécurité de la maison (plomberie/électricité/chauffage). Je monte dans l’échelle du VR en contournant les bicyclettes sur leur support. Dans mon « check out », il faut s’assurer entre autres des accessoires du toit. En redescendant, je manque la dernière marche et tombe de 30 po sur le dos dans la rue : Ouch! mon coude et ma fesse droite (j’en boiterai 3 jours). Départ 9h. Enfin le grand départ tant préparé; on coupe le cordon avec le Québec. On atteint Lacolle à 14h00 où l’on sacrifie 70 minutes pour passer.
On roule vers le Sud et atteignons Newburg vers 20h. Épicerie puis installation sur le stationnement de Wall Mart pour la nuit. Les extensions refusent d’ouvrir! GRRR. Je m’étends recroquevillé dans la dînette et Julienne sur le sofa-lit non déployé aussi recroquevillée que moi. À l’ouverture du garage du magasin, je vais demander de l’aide au préposé… Il me trouve un garage et me trace le plan pour m’y diriger, on ne trouve pas. Un autre bon samaritain nous indique un réparateur de VR à qq 5 milles plus loin… À l’aspectg des rues et commerces désaffectés qui se déroulent on aurait cru reculer 40 ans dans le temps dans l’arrière-pays; seul le taux horaire affiché dans une boutique ouverte à tout venu est moderne : 80,00$/hre (U.S). Quelqu’un se présente enfin et me dit que celui que je cherche est au 2e étage de l’autre côté du bâtiment. J’y monte par un escalier intérieur et je suis reçu par un chien dans les marches. Son technicien est sur la route et reviendra au cours de la journée. Ça nous paraît bizarre et on décide de quitter avec notre problème. Il faut faire un plein… La pompe indique 10% Éthanol. Le moteur Ford peut-il avaler ce mélange sans ajustement du carburateur? Le pompiste nous rassure et je prends une chance et 45 gallons d’essence. On décide de chercher un camping; on se dirige vers North East pour un State Park. Il n’y a personne à la barrière, on pense rebrousser chemin. Un usager se présente, nous rassure et nous dit comment fonctionner. Nous sommes rejoints par le Park Ranger qui nous précède sur le camping, nous choisit un site et nous aide à reculer. Voyant notre inexpérience et nos conditions de fonctionnement, il s’implique lui-même pour nous assurer l’électricité à l’intérieur de notre « home »avant la noiceur (Les resets d’entrée du courant avaient lâché à notre insu.) Voyant qu’on ne peut, de plus, ouvrir les extensions il cherche avec un locataire voisin la « switch » responsable de notre trouble… inutilement!
Nous avons essayé à maintes reprises de vous expédier de nos nouvelles mais les sites Internet sur les campings n’ont pas souvent la connexion sans-fil. Nous sommes présentement à Orlando et nous espérons que Disney est moderne. Présentement il pleut. Dès que nous pourrons, nous irons ,a l’Office vous expédier ce texte. Demain, 10 avril nous visiterons EPCOT CENTER. A bientôt.
N.B. On essaie de vous envoyer des images. À tantôt
Les heureux VAGABONDS xxxx
1er avril 2007 : Lever 5hres.
Nous finissons d’entrer les choses dans le véhicule et assurons la sécurité de la maison (plomberie/électricité/chauffage). Je monte dans l’échelle du VR en contournant les bicyclettes sur leur support. Dans mon « check out », il faut s’assurer entre autres des accessoires du toit. En redescendant, je manque la dernière marche et tombe de 30 po sur le dos dans la rue : Ouch! mon coude et ma fesse droite (j’en boiterai 3 jours). Départ 9h. Enfin le grand départ tant préparé; on coupe le cordon avec le Québec. On atteint Lacolle à 14h00 où l’on sacrifie 70 minutes pour passer.
On roule vers le Sud et atteignons Newburg vers 20h. Épicerie puis installation sur le stationnement de Wall Mart pour la nuit. Les extensions refusent d’ouvrir! GRRR. Je m’étends recroquevillé dans la dînette et Julienne sur le sofa-lit non déployé aussi recroquevillée que moi. À l’ouverture du garage du magasin, je vais demander de l’aide au préposé… Il me trouve un garage et me trace le plan pour m’y diriger, on ne trouve pas. Un autre bon samaritain nous indique un réparateur de VR à qq 5 milles plus loin… À l’aspectg des rues et commerces désaffectés qui se déroulent on aurait cru reculer 40 ans dans le temps dans l’arrière-pays; seul le taux horaire affiché dans une boutique ouverte à tout venu est moderne : 80,00$/hre (U.S). Quelqu’un se présente enfin et me dit que celui que je cherche est au 2e étage de l’autre côté du bâtiment. J’y monte par un escalier intérieur et je suis reçu par un chien dans les marches. Son technicien est sur la route et reviendra au cours de la journée. Ça nous paraît bizarre et on décide de quitter avec notre problème. Il faut faire un plein… La pompe indique 10% Éthanol. Le moteur Ford peut-il avaler ce mélange sans ajustement du carburateur? Le pompiste nous rassure et je prends une chance et 45 gallons d’essence. On décide de chercher un camping; on se dirige vers North East pour un State Park. Il n’y a personne à la barrière, on pense rebrousser chemin. Un usager se présente, nous rassure et nous dit comment fonctionner. Nous sommes rejoints par le Park Ranger qui nous précède sur le camping, nous choisit un site et nous aide à reculer. Voyant notre inexpérience et nos conditions de fonctionnement, il s’implique lui-même pour nous assurer l’électricité à l’intérieur de notre « home »avant la noiceur (Les resets d’entrée du courant avaient lâché à notre insu.) Voyant qu’on ne peut, de plus, ouvrir les extensions il cherche avec un locataire voisin la « switch » responsable de notre trouble… inutilement!
Nous avons essayé à maintes reprises de vous expédier de nos nouvelles mais les sites Internet sur les campings n’ont pas souvent la connexion sans-fil. Nous sommes présentement à Orlando et nous espérons que Disney est moderne. Présentement il pleut. Dès que nous pourrons, nous irons ,a l’Office vous expédier ce texte. Demain, 10 avril nous visiterons EPCOT CENTER. A bientôt.
N.B. On essaie de vous envoyer des images. À tantôt
Les heureux VAGABONDS xxxx
vendredi 6 avril 2007
Myrtle Beach
Depuis hier soir le 5 avril, nous sommes à Myrtle Beach en Caroline du Sud. Beau, mais pas chaud, surtout la nuit. Avons bien hâte de rencontrer la chaleur. Avons rencontré un couple de Laval qui remontait mais a renoncé pour le moment à cause de la température au nord. Nous avons marché sur la plage, moi avec mon polar et en jeans, Gilles avec un coupe-vent et en jeans lui aussi. Quelques enfants jouaient au bord de l'eau.
Ici il y a déjà beaucoup de fleurs. Le terrain de camping est sur le bord de la mer et contient 1975 sites. C'est une petite ville et il y en a un autre à côté qui contient autant où ils nous ont retournés hier car il n'y avait plus de place. C'est le congé de Pâques!
Julienne et Gilles
Ici il y a déjà beaucoup de fleurs. Le terrain de camping est sur le bord de la mer et contient 1975 sites. C'est une petite ville et il y en a un autre à côté qui contient autant où ils nous ont retournés hier car il n'y avait plus de place. C'est le congé de Pâques!
Julienne et Gilles
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